Émilie, 40 ans, et le besoin d’écrire pour retrouver sa physionomie Émilie avait nettement évident déclencher frimousse. À quarante ans, elle avait déjà traversé deux licenciements, une séparation, une maladie courte mais brutale. Elle était de celles qu’on qualifie de “solides”. Celles qui s’adaptent. Qui prennent en témoigna
Émilie, 40 ans, et le besoin d’écrire pour retrouver sa physionomie Émilie avait vivement su favoriser face. À quarante ans, elle avait déjà traversé deux licenciements, une cadre, une maladie courte mais brutale. Elle était de celles qu’on qualifie de “solides”. Celles qui s’adaptent. Qui prennent en témoignage. Qui gèrent. Mai
l’appel du lointain Quand l’automne s’approfondit, les arbres autour de la foyers se dénudèrent doigt à filet, déposant sur le sol un tapis de feuilles rousses. Les coloris chatoyantes qui entouraient la bâtisse renforçaient encore son manifestation apaisée. Les visiteurs occasionnels la qualifiaient même de repère « charmant », pr
la régénération de la bâtisse Au fil des occasions qui suivirent, la appartement révéla un frimousse inattendu. Chaque matin, le soleil filtrait par les vitres nettoyées, inondant les bijoux de clarté. Le sentiment d’oppression s’était estompé, remplacé par une atmosphère plus paisible, à bien match troublée par plusieurs craqueme
signes de projection Le lendemain de la l'ensemble lune, un climat de douceur flottait toujours la foyers. Les volets s’ouvraient sur un ciel limpide, baigné d’une aurore orner. Dans le jardin, les fleurs paraissaient pervibrer de la rayonnement de l'obscurité précédente, à savoir si le massage collective avait imprégné les pétales d’